Un chant très particulier
Dans la culture aborigène et pour les premiers colons, son rire ressemble à un rire très puissant, ce qui fait qu’on le remarque. Dans les faits, quand on entend ce chant, c’est vrai qu’il est assez particulier, mais pour entendre un rire, il faut faire preuve d’un peu d’imagination. Ca ressemble plus aux cris d’un macaque dans les aigus qu’à un rire.
Malgré ça, ce chant si particulier lui a valu le surnom d’oiseau qui rit.
Anatomie et alimentation
Pour le reste, on le remarque assez vite parce qu’il est assez gros (d’où le nom de “géant”, peut-être un brin exagéré). Il fait la taille d’un corbeau environ.
Il appartient à la même famille que les martins pêcheurs qui vivent dans nos régions (un tout petit oiseau bleu et orange qui vit près des cours d’eau), et il a le même bec un peu particulier. Sa tête parait un peu disproportionnée par rapport au reste de son corps.
Il se nourrit d’insectes, de lézards, mais aussi de serpents, ce qui n’est pas sans danger, surtout en Australie.
Détails surprenants et insolites
Le couple reste fidèle toute la vie (comme c’est romantique) et le mâle et la femelle élèvent les petits ensemble (l’homme parfait, en gros).
Beaucoup moins “fleur bleue”, les petits oisillons ont une sorte de pic sur le bout de leur bec, qui leur sert notamment à percer la coquille de leur oeuf pour sortir, mais aussi à tuer leurs frères et soeurs si il n’y a pas assez de nourriture pour tout le monde. Comme quoi avec nos disputes à table entre frères et soeurs, on fait figure de petits joueurs !
Observation
On voit souvent des kookaburras en Australie.

je suis Thomas, passionné par l’Australie et sa culture. À travers mes articles, je vous fais découvrir la fascinante faune australienne, les plus beaux paysages et je vous donne des conseils pratiques pour préparer votre voyage. Suivez-moi dans mes aventures !